Découvrir et connaître Élisabeth Lacoin, dite « Zaza » (1907-1929)

Découvrir et connaître Élisabeth Lacoin, dite « Zaza » (1907-1929)

Comprendre en profondeur Zaza et saisir toute la richesse de sa personnalité nécessite de se pencher sur un ensemble diversifié de publications.

Comme l’affirme, à juste titre, la fille adoptive de Simone de Beauvoir, Sylvie Le Bon de Beauvoir, dans son Introduction au roman Les Inséparables, il est vrai que « devant un mystère, l’interrogation s’exaspère, on multiplie les angles d’approche, les mises en perspective, les éclairages » .

Aussi l’Association familiale Elisabeth Lacoin vous propose de découvrir Zaza à partir de différentes sources que sont :

  • Les écrits nombreux et divers que Simone de Beauvoir, sa meilleure amie d’enfance et de jeunesse, lui a consacrés. Dans cet ensemble composite, il faut mentionner :

    • les écrits autobiographiques (ou mémoires) de Simone de Beauvoir. Le premier d’entre eux, Mémoires d’une jeune fille rangée (paru en 1958), accorde une place majeure à Zaza et donne à lire plusieurs des lettres de celle-ci à son amie Simone.

    • les volumes autobiographiques ultérieurs de Simone de Beauvoir continueront à évoquer Zaza, et l’index de l’édition de la Pléiade des Mémoires de Simone de Beauvoir (2 volumes parus en 2018) fournit toutes les références de ces mentions.
      À l’œuvre autobiographique s’ajoutent les Cahiers de jeunesse 1926-1930 de Simone de Beauvoir, édités en 2008 par Sylvie Le Bon de Beauvoir (Gallimard), dont l’écriture est contemporaine de la vie et de la mort de Zaza.

    • les fictions romanesques : depuis les années 30 et avant la rédaction de ses mémoires, Simone de Beauvoir a tenté de faire revivre la figure de Zaza par différents essais dont elle était restée insatisfaite. À ce jour, deux d’entre eux ont été publiés :

  • D’autres publications – ouvrages et articles – évoquant la figure de Zaza, sa personnalité, son milieu, son éducation, ses écrits, sa place et son rôle dans la vie et l’œuvre de Simone de Beauvoir.

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